Après quelques manipulations complémentaires, je me suis aperçu que dans les échanges conversationnels avec l'assistant, il n'était pas nécessaire de (re)dire les mots clés requis en début de chaque phrase d'échanges. Toutefois, il reste naturellement une temporisation à respecter pour que l'échange puisse être réel.
Il a été signalé un bug potentiel de sécurité avec la quasi totalité des assistants vocaux relatif à l'émission d'ultra-sons. En effet, la bande de fréquence utilisée non reconnue par l'homme est captée par les assistants. Il en résulte des potentiels usurpations possibles. En conséquence, en attendant que le problème soit corrigé, il semble nécessaire d'éviter de gérer des informations confidentielles avec ces solutions.
Logiquement, les mises à jour logiciels pour le Google Home sont transparentes pour les utilisateurs. Ceci semble pas tout à fait exact, car certaines nécessitent leur intervention. Pour ce faire, Google envoie un mail donnant le mode opératoire à respecter, ainsi que ce lien de support (ici). De plus, l'assistant averti l'utilisateur en lui mentionnant d'effectuer la mise à jour lors d'une requête orale émise. Il faudra désynchroniser et resynchroniser les objets connectés pour cette mise à jour spécifique (orientée matériel). Ceci va être le cas pour les évolutions évoquées lors des Google I/O 2017 (ex: bluetooth). Aucune informations sur la date de disponibilité de ces nouvelles fonctionnalités pour la France.
De nombreux autres assistants vocaux concurrents voient le jour en cette fin d'année (ex: Samsung, Apple, etc.). Comme pour Android, ces solutions s'appuient sur les services Google pour la partie logicielle.
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